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 Kagami Ukio, le "petit" frère

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Murakami Aiko
Murakami Aiko
MessageSujet: Kagami Ukio, le "petit" frère   Kagami Ukio, le "petit" frère Icon_minitimeMar 5 Aoû - 14:45


Ukio Kagami
" Si tu es triste, il te suffit de me prendre dans tes bras et ça ira mieux non ? "

⊰Qui es-tu ?

NOM : Ukio
PRÉNOM : Kagami
SURNOM : Petit frère/gamin/Blondinet
ÂGE : 19
FAMIGLIA/GROUPE : Cavallone
STATUT CONJUGUAL : Cherche l'amour
INTÉRÊT SEXUEL : Les femmes :3
ANECDOTES : Les origines de Ukio sont inconnues, il ne se souvient pas du début de son enfance. Ses traits physiques suggèrent qu'il est Européen, peut être d'une contrée Nordique
RANG : Gardien de la pluie 雨
FLAMME PRIMAIRE: Pluie
FLAMME SECONDAIRE: Écrire ici
FLAMME TERTIAIRE: Écrire ici

♕ Hey comment t'es fringué(e) ?

Rappel : 10 lignes minimum

Une lumière éclatante reflétant bonheur et espoir à chacun de ses pas; pas résonnant tel un orchestre symphonique, lorsqu'il percute avec ferveur le sol. Cette lumière apaisante, claire et paisible ne diffère en rien de toutes les autres... A vrai dire, l'image qu'on a de celle-ci demeure assez floue, expliquant ainsi le pourquoi du comment nul autre que mafieux ne connaissent sa véritable apparence. En effet, lorsque que l'on fait la description d'un être tel qu'Ukio, il vous est souvent rapporté que celui-ci n'est pas grand, ni même spécialement viril. Toutefois, sachez que s'il n'est pas très viril celui-ci n'en est pas travesti pour autant. Certes, il est vrai qu'à première vue nulle ne sait que penser de lui car Ukio, c'est tout d'abord comme un enfant mais en un peu plus âgé. Si toutes les filles ont pour habitude de le trouver tout mignon quand il sourit si chaleureusement, il est certain que son petit air innocent vous fera craquer, il est si irrésistible !

Pourtant quand bien même vous auriez voulu le voir autrement que le petit frère que vous n'avez jamais eu (et vous auriez tellement aimé avoir un petit frère aussi chou crachez le morceau !), parce que même si Ukio à l'air d'un gamin au premier regard, Notre Gardien de la pluie n'en demeure pas moins une personne de votre âge. C'est pour cela qu'il est si...unique. Sa musculature n'est pas visible, toujours masquer derrière ses vêtements. Toutefois, ont peux supposé qu'il possède une certaine forme athlétique. Ses principaux entraînements basés sur des déplacements et de l'endurance. Il est fin et doux, comme du coton. Sa douceur de ses mains dégagent une douce chaleur de bien être. Il est redoutable pour tout ce qui est activités manuels. Sachant manier le pinceau, il est également bon pour les massages grâce à l'éducation qu'il a obtenue. Ses petites joues donnent juste envie de les tirer, si vous l'embêtez un petit peu il se mettra à paniquer et sortira ses gros yeux ronds en dévoilant chacune de ses expression avec franchise. Lorsqu'il sourit il émane la joie, un sourire angélique et puissant, un sourire à vous faire tombez à la renverse. Sa douce chevelure blonde et scintillante est éparpillé sur sa tête. Hérissé à l'avant ainsi qu'à l'arrière, sa blondeur est très maniable, ainsi vous obtenez une véritable tête à coiffer humaine.

Vous voulez un petit bonus ? Ses yeux sont d'un bleu, semblable à l'azur. D'une grande beauté pour votre plus grand plaisir. En regardant son visage, vous serez transporté au bord de la mer, sous un soleil radieux vous faisant agréablement plaisir. Ukio est très rattaché à l'élément de l'eau, de la pluie. Il est gêné pour ce qui est question des tenues vestimentaire. En effet, ne se trouvant pas si beau que cela, se rabaissant il est très rare de le voir très bien habiller, le regard des autres laissant parfois apparaître sur son visage quelques rougeurs au niveau des joues ainsi que le mal être. Très expressif, le petit aime bien les tenues légères, souvent de couleur blanche ou noire, il déborde de vitalité. Sa taille convenable ainsi que son visage donne un éclat particulier, quelque chose en plus que peu tout le monde possède. Sa démarche le rend reconnaissable à des kilomètres. Une démarche douce et paisible, il essaye de garder la tête haute en fixant son objectif en s'avançant. Toutefois, lorsqu'il rencontre une personne qu'il adore, il s'empresse de courir vers elle en sautant dans ses bras et en lui faisant un câlin, son mouvement de signature redoutable. Ses lèvres semblent douces, parfaites pour déposer un baiser sur votre corps, deux petites lèvres se posant doucement sur vous. Elles vous caressent mais vous n'avez pas envie qu'elles s'arrêtent, vous en voulez encore et toujours plus. Le blondinet peux s'avérer être une addiction chez certaines filles. Vous pouvez l'observer de part et d'autres en train de savourer une glace, peindre une toile ou s'occuper des autres. Il porte souvent des bracelets au niveau du bras gauche, ses quelques petits accessoires rajoute un petit plus d'esthétisme chez lui.

Sa petite veste blanche surplombant son haut noir est sa petite signature. Quelques motifs semblable à un damier se dessine au niveau des épaules. Son pantalon de couleur beige est suivie d'une paire de baskets rouges, plutôt banal non ? Par contre, lorsqu'il doit partir en mission ou se cacher, il possède un énorme costume de couleur noire. Semblable à une longue veste, bien trop longue pour lui, la capuche le surplombant il est presque impossible de l'identifier s'il ne la baisse pas ou bien si vous n'êtes pas proche de lui. A noter que le rouge se trouvé également au niveau du col de sa veste. Des sourcils fin, un menton peu imposant, on dirait que tout est fait pour ne pas se montrer mais en même temps, c'est la beauté de son visage qui le met en avant.

♕ Et comment tu penses ?

Rappel : 10 lignes minimum

Ukio est comparable à un cadeau venu du ciel. Un simple regard avec lui et vous êtes déjà envoûté, mais si vous étudiez de plus prêt l'enveloppe Astral de cet homme, vous n'aurez aucune raison de lui résister. Il incarne à lui seul tout ce qu'il y a de bon chez l'Humain. Son passé difficile à fait de lui un être emplie de bonté, cherchant à faire plaisir à un maximum de personnes grâce à la joie, aux sourires qu'il effectue aux autres, toutes ces petites attentions envers chacun qui sont ou non récompensées par un simple "merci". Il a tendance à toujours trop en vouloir pour les autres, il en est arrivé à un point ou le nombrilisme est une idée prohibée. Toujours prêt à tout sacrifier pour ses amis, ses compagnons de fortune, il s'entraîne durement afin de peaufiner ses maîtrise martiales et est relativement stricte envers lui même. Pourtant, ses durs efforts ne sont pas tant récompensés que cela, son potentiel de combat était relativement faible bien qu'il ait énormément progressé depuis le temps. Il apprend vite, mais ne parvient pas à dépasser ses limites actuelles. C'est seulement lorsqu'il est poussé dans ses retranchements que ces réelles capacités surgissent. Il fait preuve d'une analyse plus poussée de la scène, l'adrénaline présente dans son corps augmente son potentiel physique et ses méninges essayent d'innover. La créativité est quelque chose d'innée chez lui, mais pas forcément dans le domaine du combat. Amateur de peinture, il aime s'évader dans cette passion, peignant le plus souvent des peintures remplies de lumière et de couleurs chaudes. Mais ces peintures lui servent également de journal intime , lorsqu'il était constamment seul, il effectuait des peintures plutôt sombres et triste, ses oeuvres ont toujours représenter son humeur du moment, une partie de lui-même. Ce jeune adulte a pourtant soif de connaissance, en plus de ses connaissances plastiques, il entretient régulièrement sa culture générale en s'intéressant à peu prêt à tout et n'importe quoi. Ukio est en quelque sorte une sources d'informations fiables qu'elles soient insolites ou possèdent une réelle utilité. Cela peux s'expliquer par sa mémoire relativement développer. Bien qu'Ukio se permet de mentir sur son potentiel de mémoire, en effet il lui arrive souvent de faire semblant de ne pas s'en souvenir le plus souvent pour ne pas faire ressortir la peine enfouie derrière certaines discussions qui devraient parfois être mise sous silence. Le jeune blondinet a sa propre réflexion sur ce qui est bon et mauvais ainsi qu'une vision personnelle de la justice. Il ne peux pas comprendre pourquoi certains sont prêts à sacrifier tout ce qui leurs est cher uniquement dans le simple but de se venger. Qu'importe la douleur que l'on a éprouvée, s'il faut se détruire encore plus, se ronger de l'intérieur pour se donner un but dans la vie, cela ne vaux pas le coup. Il vaux mieux essayer de vivre avec ce qui nous a détruit en guise de fardeau car, si l'on parvient à le surmonter, on n'en ressortira avec une maturité plus grande ainsi qu'une meilleure résistance mentale. Nos douleurs doivent nous servir à nous endurcir et non mettre fin à notre existence.

Mais malgré tout cela, des défauts sont présent en lui le rendant "imparfait". Il est extrêmement pessimiste. Vous souvenez vous de son problème à vaincre ses "limites" dont je vous ai fait part auparavant ? Son pessimisme est peut-être la réponse à son problème bien qu'il n'arrive pas à s'en rendre compte. En réalité, il se sous estime tellement qu'il ne parvient pas à réaliser sa puissance ainsi que la chance qu'il a d'avoir des amis sur qui compter malgré son manque de confiance en soi. Qu'importe les missions qu'il lui est confiés, il a toujours cette peur de ne pas être à la hauteur, il préfère se sous estimer qu'être vantard. Un choix pas forcément meilleur que l'autre, au moins les personnes remplies d'ego sont toujours au top de leurs forme sur-le-champ de bataille et n'ont peur de personne. La logique d'Ukio est inverse à la leurs, il préfère songer à ne pas y arriver et sourire en se rendant compte que, à sa grande surprise, il était en réalité capable de vaincre ses adversaires avec ou sans difficulté. Côté coeur et bien...c'est un grand mystère pour les autres. En effet Ukio a autrefois aimer mais ses sentiments n'ont jamais été dévoilés, le jeune garçon étant trop timide. Par malheur la femme qu'il aimait fut présumé morte et il a maintenant réussi à surmonter cela et est maintenant capable d'aimer à nouveau. Toutefois, il est tellement gentil avec tout le monde qu'il est difficile pour une femme de savoir s'il veux juste être sympa avec vous ou bien...qu'il vous aime un petit plus que les autres ! Comment ? Vous avez dit timide ? Oui Ukio est très timide d'ailleurs s'il savait que vous lisiez cela il serait en train de se cacher je pense.

Il effectue ses attentions certes, mais à tendance à rougir ou à paniquer en appréhendant la réaction des autres. C'est ce qui le différencie avec un vrai "mâle". Il pourrait en être un si une progression psychologique avait lieu mais pour l'instant son schéma est plutôt simpliste : Il vient vers vous, vous offre un cadeau, panique en ayant peur de la réaction et sourit si jamais vous êtes content mais on s'arrête la. Gardez en tête que cela est valable uniquement pour les membres de sa famille, avec les autres il vous répondra par dépit mais ne fera surement pas attention à vous. La vérité est qu'il s'ouvre peu aux autres, il peux vous faire confiance avec difficultés, seul quelques personnes peuvent être proche avec lui. Un certain gardien du soleil arrive très bien à occuper se rôle même s'il ne sait pas si c'est réciproque ou nom. Le blondinet est également un fin gourmet, il adore manger, savourer des pâtisseries ou grands plats cuisinés remplies de saveur qui déborde dans vos bouches et qui...et qui... Bon il est en train de baver donc passons rapidement à la suite s'il vous plait ! Cela va en adéquation avec ses goûts de luxe. Les canapés moelleux, les lits géants, toutes ces petites choses rendant la vie plus facile et plus agréable, il aimerait tellement être riche. Bien sur s'il l'était il gâterait ses compagnons et qui sait ? Dépenserait la totalité de sa somme pour les autres sans même avoir eu le temps de profiter de sa fortune, idiot qu'il est.

Sa naïveté lui joue encore des tours alors je vous en prie, ne le faites pas tourner en bourrique, il ne s'en rendra même pas compte alors Ukio doit compter sur ses amis pour le sauver des escroqueries. Un peu plus calme à garder qu'un enfant de la crèche, sa flemme prononcée en fait voir de toutes les couleurs dans sa famille. Sa relation avec Dino est donc particulière, est-ce une relation plutôt paternel ? Ou bien Ukio serait-il le petit frère de la famille ? Chacun à sa propre vision de lui du coup le blond peux tourner, servant à chacun de jouet ou de doudou. C'est dans les moments les plus tristes que cela s'avère être efficace. Le blondinet vous regardera dans les yeux, vous fera un sourire, posera sa main sur votre épaule ou autre. Il effectuera "la petite attention" celle dont vous avez tant besoin quand vous êtes au plus bas, celle qui varie en fonction de qui vous êtes, votre attention "intime". Réservé uniquement pour vous, Ukio apaisera votre coeur et si jamais des larmes coules, il les essuiera pour vous.

♕ Et si tu nous racontais ton histoire ?

Rappel : 20/25 lignes minimum

• Pour les personnages inventés : histoire de votre personnage obligatoire.

On dit que l'on muri en apprenant de ses erreurs mais est-ce que les erreurs commises par autrui peuvent nous transformer totalement ? Peut être obtiendrez vous la réponse à cette question à la fin de mon histoire.

Je me souviens petit que de très peu de détails, en effet, tout me semble un peu floues et confus c'est pour cela que ma manie de peindre m'est venue plus intensément par la suite. Je n'ai pas de traces de mes parents, je ne sais pas quelles sont mes origines. De ce que l'on m'a conté, vers mes sept ans j'aurais débarqué par hasard au pied de la porte d'une vieille dame. Elle était réputée pour sa gentillesse envers les enfants du quartier, elle avait passé toute sa vie à s'occuper des enfants d'autrui. C'est donc sans grande hésitation qu'elle pris la décision dans sa tête de s'occuper de moi, du moins pour quelques jours. Cette "mama" était épaulée dans sa vie de tous les jours par une jeune adulte, elle prenait aussi plaisir à s'occuper des enfants des autres, une volonté accentuée par son impossibilité de devenir maman la jeune femme étant stérile. Au début je devais être présent que durant quelques temps, elles espéraient que mes parents viendraient me chercher. Toutefois, j'étais incapable d'apporter le moindre détail sur eux. Je ne me souvenais de rien, seulement de la porte de cette maison, des douces gouttes de pluie s'écoulant sur mon corps humide. Puis enfin, du visage de cette dame avec ses interrogations, elle m'hébergea sans aucune crainte, sans avoir peur d'être traitée de kidnappeuse ou autres immondices que certains se permettent de prononcer sans jamais connaître l'histoire de ceux concernés.

Toujours est-il que les jours suivirent où je débutais une vie "normale". Au début j'avais très peu de sentiments humains, je parvenais à peine à prononcer quelques mots et était terriblement gêné par la présence des visiteurs réguliers chez la mama. Je semblais effrayer, horrifié par la présence des autres seuls les deux femmes pouvaient s'approcher et communiquer avec moi. Les deux seules activités que je désirais faire étaient la peinture ainsi que le coloriage, j'ai développé rapidement un talent inné pour le dessin à ma grande surprise. En effet, étant assez maladroit qui aurait pu penser que je pouvais manier le pinceau et le crayon correctement ? C'est ainsi que les journées défilèrent et que petit à petit, je commençais à m'ouvrir avec les autres personnes tout en gardant une certaine méfiance. J'essayais de jouer timidement avec les enfants autour de moi tout en continuant mes activités plastiques. Je peignis mes premiers contact avec les autres, essayant de m'appliquer du mieux que possible bien que mes dessins restaient quand même à un niveau bas. Ce n'est que l'en continuant de grandir jusqu'à l'âge de mes quinze ans que je révele enfin à révéler tout mon potentiel. Les peintures dégageaient de réels sentiments, je vivais encore au même endroit, mais je sortais tous les jours pour effectuer des petits travaux afin d'aider à financer mon foyer. J'avais découvert en gagnant en grandissant que la situation financière de la "famille" était basse, elles recevaient très peu d'argents, car les parents qui laissaient leurs enfants ici étaient pauvres. Leurs enfants ont été surveillés ici afin de permettre à papa et maman de récolter des fonds en travaillant durement toute la journée. C'est ainsi que du jour au lendemain, sans réellement m'en rendre compte je débutai ma première connexion avec la mafia.

Un homme de noir vêtu errant dans les rues de la ville. A sa main gauche, son téléphone toujours accoler à son oreille en train de discuter. Dans son autre main, une mallette qu'il se contente de trimballer en permanence. Je le voyais tous les jours puisque j'avais l'étrange sensation qu'il m'observait, me suivait. Tout cela me mettait mal à l'aise, mais je ne pouvais pas aller me rebeller contre lui, car après tout, j'étais encore jeune non ? Un beau jour je le retrouvai devant ma porte, il était en train de discuter avec la jeune nounou, lorsque je les vis j'essayais de me cacher derrière une poubelle, je pensais avoir réussi ma filature et je parvenais à entendre quelques mots : argent, Ukio, potentiel. Qu'est-ce que tout cela voulait bien signifier ? Je réfléchissais intensément dans ma tête jusqu'à ce que ma deuxième "mama" m'appelle pour faire signe de venir. J'étais rouge de honte, elle riait sur ma cachette peu efficace. Je n'avais même pas remarqué que j'avais renversé la poubelle qui devait me faire office de couverture. Elle m'introduisit donc avec cet homme. Il se nommait Léolio il me semble. Sa corpulence était grande, ses cheveux hérissés me faisait rêver, j'adorais cette coupe de cheveux. Ses petites lunettes de soleil lui donnent un côté très pro, très charismatique. Il m'expliquait alors qu'à partir de maintenant il allait me former à commettre certaines tâches, de faire monter un potentiel enfoui en moi en échange d'une très grosse paie pour ma "famille". Cela me semblait invraisemblable, mais il semblait sincère. Pour une étrange raison je n'étais pas effrayé par Léolio, d'une certaine manière, rien qu'en le regardant, je me sentais en paix avec moi-même. C'est ainsi que, épris de confiance envers cet homme, je stoppais tous les petits boulots pour me consacrer à la formation avec lui. Léolio était doté d'une grande connaissance, il m'apporta une éducation intellectuelle dont je n'avais pas eu la chance d'avoir auparavant. En effet, ma "famille" ne pouvait pas m'envoyer à l'école car ils avaient besoin de moi à la maison. Il m'apprit surtout ces rudiments de médecine, il semblait être un spécialiste ainsi qu'un passionné. Il me fit également toutes sortes d'activités physiques : parkour (discipline sportive), déplacements, course à pied. Tout ce qu'il fallait pour développer un physique agile et endurant. Mais il refusait de m'apprendre tout ce qui concernait le combat, je n'étais pas prêt selon lui. Enfin, il me dit un beau jour une phrase qui allait influencer ma notion du monde :

"Ukio, les armes ont d'abord été conçue afin de se protéger, se défendre. Aujourd'hui tout est une arme potentielle et elles ne servent pas forcément à faire le bien. Les armes peuvent être effrayantes, mais si chacun enlevaient sa crainte ainsi que sa cruauté envers les autres elles ne deviendraient que de simple outils sans danger pour les hommes".

Il posa alors sa main sur ma tête, elle était chaude, douce et rassurante. Sans vraiment comprendre, des larmes coulaient doucement sur mon visage. En regardant Léolio devant moi, ses paroles m'atteignant en plein coeur, je le trouvais rayonnant. Une toile se traçait dans mes yeux en le regardant, une toile magnifique remplies de couleurs chaudes ainsi qu'une intense lumière. Une pensée me traversa l'esprit, une pensée que vous pourrez trouver honteuse ou incompréhensible. Des mots qui me firent m'écrouler encore plus en larme devant Léolio : "papa". Il me prit dans ses bras, s'excusant comme il le pouvait en essayant de comprendre pourquoi je me comportais ainsi. Je lui dis qu'il n'avait qu'à passer à la maison pour mieux comprendre. C'est ainsi que je parlais avec la mama afin d'organiser un dîner avec mon mentor. Au cours du dîner, Léolio vit des peintures accrochées de part et d'autres dans la maison et se permit d'être interrogé par la personne qui les avait créés. Il fut agréablement surpris de découvrir que c'était le fruit de mon travail. Je lui expliquais alors mes goûts, mes premières craintes avec les autres, comment j'étais arrivé ici et surtout la vision de ma toile lorsqu'il me parlait de son discours pacifiste. Son visage a pris alors une expression, la même que j'éprouvais envers lui en le regardant : de l'apaisement. Ce soir-là, j'avais inversé la situation avec mon mentor, mais je vis autre chose en lui. C'était incroyable mais j'avais l'impression de lire les sentiments humains aisément, comme une sortie de mini don enfoui en moi qui suis éveillé. Ce jour-là je sentis de l'amour entre la jeune mama et Léolio, mais cet amour était différent de celui que j'avais avec elle, il était ni plus fort ni plus faible, seulement différent. Comprenant un peu mieux la situation entre les deux, je proposai à tout le monde si on ne pouvait pas comment dire : fonder une famille. J'avais une "mama", un "papa" et une "grand-mère". Les trois se regardèrent entre eux et se mirent à sourirent. Léolio et mama étaient un peu gênées mais heureux. Finalement, tout le monde accepta et Léolio vint s'installer à la maison, c'était plus pratique que son appartement. C'est ainsi que ma nouvelle vie de famille débuta mais c'est aussi à ce moment-là que les ennuies débutèrent. Faisons un petit saut dans le temps vous le voulez bien ?

J'étais âgé de mes 18 ans. Léolio avait accepté de me faire une formation au combat, il s'avérait qu'il maîtrisait avec brio le couteau. C'était un couteau qu'il pouvait utiliser aussi bien dans la médecine que dans le combat, je comprenais encore plus ce qu'il voulait dire auparavant. Mes talents de peinture était encore plus poussés qu'avant. Mes toiles étaient semblables à celles des artistes et je maîtrisais plusieurs tailles de toile. Ainsi, j'avais retracés tous mes souvenirs heureux passés en compagnie de ma famille, mes souvenirs avant mon adoption étaient toujours un mystère, mais je dormais mieux qu'avant. Je m'étais ouvert au monde un petit peu plus et je nageais dans le bonheur. Une véritable collection se trouvait dans le grenier de ma maison. Tout semblait aller pour le mieux, mais un mystère demeurait encore dans toute cette joie : Léolio. Au cours de mes années de formations, il partait souvent en voyage d'affaires par si par là mais n'avait jamais voulu expliquer concrètement son travail. Il était médecin, mais ne nous disait pas où il travaillait ni pour qui. C'était un secret qu'il se devait de conserver s'il ne voulait pas de problème, du moins c'est ce qu'il nous a dit. Mais une fois je pris la décision de briser le secret, de le suivre. Je vis alors ce que je ne devais pas voir. Il pris un avion en direction de l'Italie, même avion que le mien bien entendu, je vendais quelques-unes de mes toiles pour obtenir de l'argent je pouvais donc vivre en partie autonome. Je suis tout le chemin anormal de mon "papa" pour observer la surprenante conclusion. Un manoir perdu au milieu de nulle part. Seulement quelques routes de campagne et se manoir était présent. Je restais assez loin du manoir et pris une longue vue afin d'observer au loin. Des hommes en costard, ensanglanté, un homme se battant avec un couteau au loin était-ce? ! ! Papa ! Oui, c'était bien-lui ! Il était acculé mais j'étais le plus surpris. Papa serait en train de se battre et de blesser des gens. Je pensais que ce n'était que du self défense, mais il me semblait bien qu'il venait d'ôter une vie et... et... Instinctivement, mon corps couru, fou de rage et de peine. Les larmes coulantes, je m'empressais d'aller donner main forte à mon père. J'étais inconnu au bataillon et ma venue semait le trouble dans le champ de bataille. Trouble qui me permit de sortir une lame courte que j'attachais dans mon dos pour l'entraînement. Elle était inversée, elle ne pouvait ôter la vie, mais elle était toujours puissante. Je parvins alors avec papa à nous défaire de cette situation et neutralisé nos adversaires.

Le combat terminé, je posais la lame au sol et fonda en larme. Tout n'était plus que rouge sang et obscur autour de moi. Je regardais Léolio bouleversé, je n'arrivais même plus à le nommer "papa". N'importe qui aurait pu comprendre que je me sentais trahi, tout ce que j'avais de plus cher à mes yeux, mon modèle, celui qui avait réussi à me forger et m'apaiser n'était en réalité qu'un menteur sanguinaire. Il soupira et se tut un moment en songeant à un moyen de raconter la vérité. Il s'assit sur le rebord des escaliers du manoir et m'expliqua le dessous de notre monde. Il était en réalité un mafieux, il travaillait sous contrat en ne faisant pas partie d'aucune faction officiellement. Toutefois, il effectuait beaucoup de tâche pour les Cavallone. Il m'expliqua les moyens de combat des mafieux les plus avancés : les flammes de dernière volonté, les anneaux les boîtes. Tout se retenait dans ma tête petit à petit, mais je n'arrivais pas à comprendre ni le croire. J'étais dans un état de choc profond. Le monde se détruisait sous mes pieds et lui me parlait de son autre vie ? Tout ce que je voyais à côté de moi était un menteur. Il ajouta qu'il était surpris que je puisse avoir un tel niveau de combat sans maitriser mes flammes, que mon potentiel était grand, mais pas encore libéré. Enfin, il finit en disant que ces missions servaient à nourrir la famille et qu'il était obligé d'effectuer des tâches pour la famille du cheval ailé. Que cette famille mafieuse était une des seule à vouloir apporter un monde meilleur et qu'il était prêt à verser un peu de sang pour ne plus en faire couler par la suite. Je le frappai avec violence au visage, il ne se rendait pas compte de la bêtise qu'il venait de prononcer?!! Comment peux-on oser accepter de tuer quelques personnes pour le bien de la paix ?!! C'était juste impossible !

Je m'enfuis en courant et pris le premier avion pour rentrer au Japon, ma maison ! Rien de tout cela n'avait un sens à mes yeux. Durant les heures de vol je réfléchissais un peu plus à ce qu'il me disait et essayait de le croire peu à peu. Léolio n'avait pas essayé de me rattraper, serait-ce comme un adieu ? La fin d'une éducation qu'il m'a donnée ? Les bons souvenirs ainsi que sa révélation s'entrechoquaient dans ma tête. Je ne voyais que le monde d'une seule couleur : blanc. Le monde n'avait plus de bonne ou de mauvaises couleurs mais simple un blanc de neutralité comme je l'étais en ce moment. Ni triste, ni joyeux. Arrivé au Japon je m'empressais de chercher ma famille avant d'arriver devant la bonne adresse et la un deuxième spectacle se déroula devant mes yeux. Ce jour là, il pleuvait fortement comme le premier jour, tout semblait être de la même manière. Je me retrouvais seul, devant...rien, le néant. Seulement des débris de la maison où j'étais autrefois et des cendres. Devant ce cauchemar se trouvait une lettre, fragile car imbibé de pluie, je parvenais à lire quelques mots : "revanche....douleur...Léolio...traître"

Je courais dans les débris en hurlant de rage et de larmes. J'essayais de retrouver une preuve comme quoi ils n'étaient pas la ce jour la, que c'était une illusion ou que sais-je encore ?!! Parmi les quelques objets conservés se trouvait un petit paquet, soigneusement emballer avec des tâches de sang dessus et une couverture humide. Par miracle, dessous l'emballage sale se trouvait une boite en fer qui avait tenu le choc. A l'intérieur se trouvait une espèce de grande clef avec une lettre, une boîte, ainsi qu'un anneau :

"A toi Ukio. Comme nous n'avons jamais su ta date de naissance nous avons décidé de choisir en guise de date d'anniversaire le jour où tu es venue chez nous. Si tu lis cette lettre c'est que tu fêtes l'anniversaire de tes 19 ans. Tu as grandi et nous avons réussi à instaurer une famille. Dans cette boîte se trouve un objet que chacun t'a laissé pour toi. La bague vient de grand-mère, elle te l'a laissé pour que tu aies toujours un souvenir d'elle. La clef vient de maman, elle représente ce petit plus qui te manque afin de t'ouvrir aux autres, tu dois l'utiliser pour ouvrir ton coeur ainsi que celui de tes amis. Quant à la petite boîte, elle vient de ton papa. Il dit que lorsque tu arriveras à l'ouvrir, avec un peu de volonté elle te réserverait une agréable surprise. Nous te souhaitons tous un joyeux anniversaire Ukio..."

Je perdis alors connaissance. J'étais épuisé de ma journée remplie de révélations et d'émotions. La pluie étant ma seule compagnie, je restais immobile le temps d'un sommeil de huit heures. Lorsque je me réveillai, il pleuvait encore et j'étais incapable de bouger, je refusais de bouger. C'était ma maison, je n'avais nulle part d'autre ou allait et je ne voulais pas revivre le même trauma que j'avais subi plus jeune. Je restais là en perdant toute notion du temps... Jusqu'à ce fameux réveil. Des murs blancs autour de moi, une incompréhension de plusieurs minutes et enfin la prise de conscience. Je m'étais retrouvé dans un lit d'hôpital, j'étais enveloppé de plusieurs couvertures chaudes et enfin une infirmière vint me voir. Elle m'expliquait que j'avais passé de très longues heures dans les vestiges de la maison détruite. Des passants m'avaient envoyés ici après m'avoir vu. Après le décès de la mama, les habitants avaient fui les alentours. Je pouvais voir qu'elle était sur le point de pleurer. Elle semblait connaître ma famille et les apprécier. Quelques minutes plus tard elle s'effondra dans mes bras. Elle me confessa tout. Elle avait été élevée petite par la grand-mère, elle était gardé chez elle et ses parents venaient la chercher le soir. Elle l'aimait et avait depuis son enfance souhaité être infirmière. Elle prenait des nouvelles de temps en temps mais je n'avais jamais fait attention à son visage. Elle me confirma qu'elle allait les voir avant que des hommes de noir vêtu mirent le feu à la maison en ne laissant personne entrer. Seul grand-mère ainsi que maman étaient à l'intérieur. Ils les ont assassinés sans scrupule en déclarant à la foule : "Le responsable du massacre n'est autre que Léolio, il nous a trahi et ceci est une représailles". Je pleurais doucement avec elle, nos larmes s'entremêlèrent, son corps tremblotant contre le mien, cherchant du réconfort dans mes bras. Je la pris doucement contre moi avant de déposer un baiser sur son front pour la calmer en souriant, lui disant qu'elles ne voudraient pas que l'on pleure, mais que nous devrions continuer à vivre en leurs noms. Elle frotta ses larmes avec sa main et me sourie en retour : elle était apaisée de sa peine.

Cette femme se nommait Nagisa, une jeune infirmière modèle. Elle me dit que Léolio était passé à son chevet et vu qu'il jouait office de père envers moi elle accepta sa requête. Je pouvais voir Léolio si je le désirais ce que je refusais catégoriquement me sentant encore plus trahi. Elle me remit alors une lettre, il semblerait qu'il savait que j'allais refuser et elle me supplia de la lire, car à l'intérieur s'enfermait mes réponses ou plutôt un indice de plus. Quelle plaie, je ne voulais plus avoir affaire à lui, quels mensonges allait-il encore sortir et puis...:

"Ukio, il semblerait que tu ne sois pas le seul à m'en vouloir. Tout le monde maintenant est contre moi et je peux le comprendre parfaitement. Toutefois, je sais que tu as encore des questions pour moi, que tu désires me revoir pour une bonne ou une mauvaise intention. Je vais donc te donner de quoi progresser. La famille que j'ai le plus fréquenté, les Cavallone ont reçu une requête de ma part. Je les ai conseillés pour que tu sois un de leurs gardiens. La mafia va au plus mal et je pense que si les Cavallone deviennent la famille la plus puissante, la paix pourra subsister, mais tu le sais déjà je pense. Tes cadeaux d'anniversaires t'aideront à obtenir la force pour aller chez eux. Tu dois leur prouver que tu mérites d'être un de leurs gardiens. Te souviens-tu de ce que j'ai dit au sujet de la volonté et des flammes ? L'anneau que ta grand-mère t'a offert ainsi que ma boîte pourrait débloquer ta vie. Essaye de concentrer la volonté de me revoir dans l'anneau en le portant, je sais que tu en es capable. Cet anneau est fait pour cela. Vu ton caractère, ta flamme devrait être bleue, elle représente l'apaisement. Lorsque tu y arriveras et que tu auras ouvert la boîte, entraîne tes aptitudes au combat encore un peu avant de les rejoindre. Je te donne l'adresse et te dis au revoir...fils."

Cette fois si je ne me mis pas à pleurer, mon corps resta étrangement calme à la lecture de cette lettre. Mes sentiments mêlés se calmaient peu à peu dans mon corps. Pourquoi ne pas l'écouté, essayer de le revoir ? Il restait mon père malgré tout non ? C'est pour cela que les jours suivants, en convalescence, j'essayais d'écouter ce qu'il me disait. Au bout d'une bonne semaine je parvins à matérialiser ma flamme dans l'anneau et il me fallut deux semaines de plus pour ouvrir la boîte. Nagisa m'avait autorisé à partir de l'hôpital. Je devais ouvrir la boîte seule d'après elle c'était intime. Je m'isolai donc au sommet d'une colline pour l'ouvrir et je souris en voyant la surprise. Une autre clef géante, tout ce que l'on m'avait enseigné prenait de nouveau un sens. La clef de maman ainsi que celle de papa pouvait être utilisé en guise d'outil pour m'ouvrir aux autres ainsi qu'ouvrir leurs coeurs, mais cela pouvait également être une arme. C'était à moi de décider l'usage que j'en ferais. Des flammes bleues de volonté s'écoulaient dans la clef de papa. Celle de maman demeurait normal, c'était plus une décoration qu'autre chose, un outil réellement pacifiste. Elles ne pouvaient tuer, mais blesser, c'était parfait pour moi. Je passais un bon mois à m'entraîner. Alternant la journée en me remettant à la peinture grâce à Nagisa qui avait les outils chez elle. Je fis de la vente et partagea mon expérience artistique avec elle, on devenait de bons amis. La nuit je m'entraînais et je retournais ensuite chez elle. Quelle chance de l'avoir connue au bon moment, mais en étais-ce vraiment ? Mes craintes demeuraient, mais je n'obtiendrais jamais cette réponse.

Après avoir amassé des fonds, nous firent un enterrement honorable. Seul Nagisa et moi était présent, les anciens amis de ma famille avaient trop peur d'être mêlé à eux ayant toujours peur. Je partis ensuite, faisant mes au revoir à Nagisa en direction des Cavallone. Là-bas je rencontrai le parrain grâce à l'approbation de mon père et fit mes preuves devant lui avec un petit combat que je perdis ce qui était normal. Je n'étais pas un tueur ou autre, rien de bien méchant pour lui qui était le chef, mais il aurait bien besoin de ma force. En nous regardant, un autre échange avait eu lieu. En moi il voyait l'apaisement, un gardien de la pluie, en lui je voyais un parrain symbolisant l'harmonie. Je comprenais les mots de père et était déterminé à travailler pour Dino en cherchant à revoir Léolio qui était maintenant porté disparu volontairement afin que je le chasse pour lui parler.



Bon courage, Invité de la part du Staff de Kateikyoshi Hitman Reborn RPG.
« En espérant bientôt pouvoir te compter parmi nous, mauvaise troupe. »

PRENOM OU SURNOM : Simon (comme la famille haha)  ÂGE : 17 bientôt 18 ! FRÉQUENCE DE VISITE : Souvent, quand je peux COMMENT ES-TU ARRIVE ICI : Seul Martin Mystère le sait  COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? : Il est...au max !  UNE DERNIÈRE CONNERIE : Je ne peux pas en faire une dernière CODE DU RÈGLEMENT : Coquillage de Sangoku le Tajin  VOTRE NIVEAU DE RP : Bon je trouve



© Kateikyoshi Hitman Reborn RPG ▬ LAST HOPE
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Ryu Serizawa Tamao
Ryu Serizawa Tamao
MessageSujet: Re: Kagami Ukio, le "petit" frère   Kagami Ukio, le "petit" frère Icon_minitimeDim 17 Aoû - 19:56

Validation !



Kyokugen, Momoi ! Moi ainsi que le reste du staff avons été fier de pouvoir valider ta fiche de Présentation. J'espère que tu passeras des moments inoubliables, que t'amuseras énormément auprès de notre communauté quelque peu "Fofolle" et surtout que tu ne tenteras pas de draguer Alyss. Enfin bref, après avoir discuter autour de ta fiche nous en sommes arrivés à l'analyse suivante :

  • Longueur : Un peu court mais ça reste respectable. Même si j'ai eu du mal a lire les pavés sans sauter de lignes. Cela demeure toutefois bien.

  • Style : Un bon style, mais je trouve qu'il manque des paroles, de couleurs. Sinon j'ai bien aimé la façon dont Ukio a été décrit, même si ça nous donne une image un peu... Parfaite du personnage.

  • Originalité: Je deteste noter ça vu que ça change en fonction des gens qui lisent, mais bon. J'ai bien aimé, je ne le dirais jamais assez, mais le coup de Léolio qui bosse pour plusieurs famille, l'ayant moi même faite pour mon histoire, j'ai trouvé ça moyen, même si tu a mieux exploité le personnage que moi.(by Alyss)

  • Orthographe/Syntaxe : Les phrases sont bien construites. J'ai pas vu réellement de fautes, ou du moins je ne m'en suis pas aperçue, donc faut pas se fier a moi pour ça.

Donc après toute ses remarques, tu obtiens le Niveau 16 et 4800 d'EXP ! Te voilà donc Niveau 16 !

Bonne continuation à toi, KYOKUGEN FIGHTING !
Ryu Serizawa Tamao.

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Kagami Ukio, le "petit" frère

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