Milieu d’après-midi, plein soleil dehors, l’été, l’air ce trouble au-dessus du béton à cause de la chaleur, pourtant je n’en souffre pas du tout pour cause, je me trouve à l’intérieure de la pizzeria qui porte mon nom et dont je suis le patron. J’étais accouder au bar faisant passer mon regard d’un côté à l’autre de l’établissement. Ce n’était pas l’heure de pointe donc il n’y avait que deux ou trois clients, sois attiré par la climatisation ou alors tout simplement des mafieux venu discuter affaire autour d’une quatre fromage et bien oui !  Je suis le boss d’une famille mafieuse alors souvent ils se réunissent ici sois pour préparer leur propre objectif sois pour des échanges avec les Katsuo. Bien sûr on a des clients normaux. Si on acceptait que les mafioso on aurai vite mis la clef sous la porte.

J’entends le téléphone sonner et vu que tout le monde est occupé, enfin surtout à cause du manque de personnel je décroche moi-même le combiné noir à l’ancienne. Je l’avais trouvé  à une brocante et le pensais parfait pour ce lieu.

-Pizzeria Katsuo, j’écoute.

Derrière le téléphone, une voix masculine très forte, quelque peu agressive commande une pizza. Une régina taille moyenne qu’il fallait livrer. Il me donna une adresse ainsi que le nom d’Hayato Gokudera. Il fallait croire que les tracts que j’avais fait distribuer en ville avait marché vu que de plus en plus de client téléphonaient. Bon et bien il ne me restait plus cas préparer la pizza, ce qui vu vite chose faite. L’odeur de la pâte croustillante et des divers ingrédients s’échappait de leur prison en carton quand je le déposai sur la moto que j’utilisais pour faire mes livraisons. Vivement que je trouve quelqu’un pour le faire. Je mets mes gants et le casque noir strié de flamme orange déposé sur le guidon et enfourche l’engin avant de décoller a une vitesse que représente un doigt lever à toute limitation de vitesse confondu.

Après seulement quelque  minute de route me voilà en face du dit appartement, un appartement comme les autres, enchevêtré au milieu de plein de frères et sœurs. Je regarde la liste des noms et trouve bien vite celui que je recherche, j’appuis sur l’interphone et annonce mon intention c’est-à-dire « Livré une pizza ». Ensuite, des marches et encore des marches. Pourquoi diable les gens aiment-t’il aller se percher dans les hauteurs, ont est pas des oiseaux !  J’arrive devant la porte et y frappe la pizza à la main.

-Voilà votre pizza !